Publié le 20/12/2015 sur www.domainepuitsbertin.ecles.fr
Dimanche 20 décembre 2015,
Ce dimanche matin, pas question de grasse matinée, l'équipe des aînés de Loches est à pied d’œuvre. Ils ont souhaité matérialiser les limites de nos terrains, que notre voisin agriculteur grignote allègrement depuis quelques années déjà.
Il y a maintenant deux ans, nous avons testé de planter des poteaux en bois au long de notre limite. Les effets escomptés étant au rendez-vous, nous allons généraliser cette formule partout où cela s'avère nécessaire.
L'équipe se compose ce matin de : Blandine, Antonin, Gauthier, Jason, Paul et Victor. Elle sera répartie en deux : implantation des limites et mise en place des poteaux bois.
Antonin et Victor choisissent la première avec Roland. Blandine pilote la deuxième avec Gauthier, Jason et Paul.
Pendant que les premiers mesurent et piquent des jalons à partir des éléments collectés sur le cadastre, la deuxième équipe peine à charger dans la remorque les poteaux de chêne en stock sur le terrain.
La limite de notre parcelle est maintenant matérialisée par une corde. Les première opérations d'implantation des poteaux peut maintenant intervenir.
La deuxième équipe arrive. Les poteaux traînent derrière la remorque, mais ils arrivent à bon port. La tarière qui a été louée pour l’occasion entre en action. A la commande Gauthier. Le terre est tout d'abord meuble, puis, après trente à quarante centimètres nous atteignons une couche plus argileuse et chargée en silex. La machine peine, mais après plusieurs tentatives la terre est extraite par la mèche. Il faut alors dégager le trou à l'aide de truelles, avant de mettre en place le premier poteau.
A midi, ce n'est pas moins d'une douzaine de poteaux qui ont pu être mis en place.
Bon d'accord, la prochaine fois, il faudra les planter dans un meilleur alignement, mais la limite est maintenant matérialisée.
Pendant ce temps, la première équipe s'est attachée à matérialiser les limites du terrain de l'accès nord. Des jalons ont été planté. Nous pouvons que constater que les socles de charrue n'ont pas épargné notre terre.
Quelques prises de photos de cette situation, et il est temps de replier le matériel. Cette situation devra être négociée avec notre voisin.
Un petit bilan à chaud, permet d'envisager d'autres opérations de ce genre avec les Ainés. Pourquoi pas, en continuité avec un chantier du samedi par le CGAPB, puis avec les Ainés le dimanche, pour permettre de rentabiliser la location de la machine.
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