Arrivée à Amsterdam

Publié le 24/07/2016 sur www.zilux-montpellier2.ecles.fr

Nous nous sommes réveillés avec peine (comme à notre habitude), avons plié nos tentes, et

sommes partis.

Une fois arrivés à la gare Centrale, nous avons pris notre train, direction Amsterdam.

 

Cependant, le destin ne voulant pas que nous nous éloignions de Copenhague, un feu de forêt

(que nous pouvions apercevoir de loin) s’est déclaré, et par sécurité, le train s’est arrêté une

vingtaine de minutes. Nous avons plus tard pris le ferry, où nous sommes montés sur le pont

supérieur afin d’admirer le panorama qui était magnifique, malgré le vent qui, en nous

emportant, nous à fait comprendre qu’il voulait nous garder à Copenhague.

 

Après un bon petit pique-nique à bord de ce ferry, et une conversation approfondie avec des peluches qui se sont avérées être fort sympathiques (nous sommes toujours aussi responsables, et matures, pour la grande joie de Christophe), nous avons repris le train, qui quitta le ferry.

 

Plus loin, Copenhague essayant toujours de nous décourager de notre voyage pour Amsterdam, la locomotive du train est tombée en panne, et nous pouvions descendre du train si nous le souhaitions (« Le train était fatigué, il voulait dormir, un peu comme moi » Clémence)

 

Nous avons attendu environ 30 minutes avant de pouvoir repartir. Pendant ce temps, Solène, grande dresseuse qu’elle est, est partie à la chasse aux Pokémon, et, déçue, est remontée dans le train, sans nouvel animal de compagnie dans sa Pokeball.

 

Vous penserez sûrement que c’est une blague, mais une heure plus tard, l’équipage du train

nous a annoncé qu’il était arrêté pour une durée indéfinie, et que nous pouvions, soit attendre

dans ce train, ne sachant pas s’il repartirait,

soit prendre une correspondance, ce qui nous obligeait à faire un autre changement.

 

Nous avons opté pour la deuxième option, et avons donc pris ce second train en direction d’Utrecht.

Une fois arrivée à destination, nous avons voulu changer de train, et en prendre un autre en

direction de Amsterdam Central, mais au moment de monter dans ce train, une hôtesse qui en

descendait nous a annoncé que c’était « Not this train, not this train ! » que nous devions prendre ; nous avons donc attendu le suivant.

 

Avec peine, nous sommes enfin arrivés à Amsterdam, où nous avons cherché une façon d’aller à

notre camping, qui n’était pas au centre-ville.

C’est aussi à ce moment que nous avons acheté nos billets de retour d’Amsterdam.

 

Nous avons donc pris un premier métro, puis un second, qui, tout comme les trains, tomba en

panne ( « C’était une épidémie de la peste pour les trains et les métros » toujours Clémence)

 

Nous avons donc pris un autre métro, puis un bus, qui nous a directement amenés à notre

camping.

 

C’était le tout début de l’après-midi, nous avons donc mangé.

Après, nous avons « visité » la piscine à côté du camping ( gratuite pour nous ).

 

Nous nous sommes donc baignés, Christophe a opté pour le « bronzage naturel en maillot et en

position sieste sur un banc », et nous sommes d’abord allés dans le plus grand bassin, puis nous

avons opté pour une sorte de « pédiluve » (un bassin d’un petit mètre de fond, NDT) , où

Clémence, s’étant pris un choc dans le nez, a trouvé intelligent de faire une sieste, et a voulu

expérimenter le remplacement de l’air par de l’eau. Solène, bonne infirmière qu’elle est, l’a

ramené sur le bord avant, et l’a réveillé.

 

Nous sommes ensuite allés sur le trampoline, où nous avons pris de belles gamelles, et avons

pu constater que des petits tenaient mieux debout que certains d’entre nous.

En effet, un groupe d’enfants d’environ 10 ans est arrivé et s’est incrusté.

Un enfant de ce groupe a voulu tenter l’expérience de faire tomber une ado de plus de 5 ans son

aînée.

L’expérience fût une belle réussite, puisque Fino, en grande douée qu’elle est, fît un roulé-boulé

jusqu’au sable en contrebas.

 

Ayant vu la chute monumentale de Fino, le garçon s’est foutu de sa gueule, tandis que Solène

toujours en bonne infirmière s’est précipitée vers Fino, en s’apercevant qu’elle pleurait. Sa

cheville ayant enflé, nous sommes tous rentrés au camping.

 

Nous avons réveillé Clémence qui avait continué sa nuit sous la tente, avons soigné la cheville

de notre casse-cou et sommes partis en direction de l’arrêt de tram pour nous rendre à la

maison d’Anne Franck. Après être arrivée non sans difficulté à l’arrêt de tram, car Fino n’arrivait

pas à marcher, cette dernière s’est rendu compte qu’elle avait oublié (pour changer) son ticket

de transport. Solène et Fino sont retournées au camping.

 

Quand elles sont revenues, Guilhem leur a expliqué, ainsi qu’à Christophe, que Clémence s’était

soit assoupie, soit évanouie. Ce fut la deuxième proposition qui fût acceptée avec 4 voix pour et

une abstention.

 

Notre infirmière préférée s’est occupée d’elle, et l’a réanimé.

Il y avait surtout beaucoup de fatigue accumulée, et une grosse douleur au nez (Imaginaire

selon certains sceptiques), au coup qu’elle s’était pris à la piscine.

 

Nous avons donc reporté notre sortie à la maison d’Anne Franck au lendemain, et tandis que

Christophe et Guilhem sont allés faire les courses, Solène et Fino se sont occupés de la blessée

( «Il est très pratique de faire des courses avec Guilhem, il n’a aucune idée » Christophe ( « Je

n’allais quand même pas le contredire, vû que je ne savais pas quoi faire pour manger »

-Guilhem).

 

Clémence allait mieux après quelques morceaux de chocolat, qui se sont avérés être délicieux.

 

Une fois les garçons revenus des courses, Solène et Clémence ont fait à manger, tandis que

Fino avait interdiction de bouger.

 

Quelques instants plus tard, Clémence a refait un malaise, et Solène l’a encore une fois

réanimée. Nous avons allongé Clémence, qui avait décidément besoin de beaucoup de repos,

puis nous avons mangé.

 

Après le repas, vaisselle, douches, et dodo.

 




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